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Dépression et suicide

La dépression et le risque de suicide chez la personne autiste

La dépression et le risque de suicide chez la personne autiste - Trouble du spectre de l'autisme (TSA) - Le site spectredelautisme.comLes enfants, les adolescents et les adultes vivant avec une condition du spectre de l'autisme (TSA), peuvent être davantage sujets à la dépression et dans certains cas, cette dernière peut mener à une tentative de suicide.

La personne autiste réagit différemment en présence de certains facteurs de stress. Elle présente généralement certaines difficultés à établir des relations stables, une difficulté à comprendre et gérer ses propres émotions et est souvent mal outillée pour faire face à ces problèmes. Sans un soutien adéquat, elles peuvent facilement se sentir dépassées par les événements, isolées et impuissantes. Pour certaines, le suicide peut sembler une solution à un problème qui leur parait insurmontable.

Il sera particulièrement important pour les membres de la famille et de l'entourage de la personne, de connaître les signes avant-coureurs du suicide afin d'aider au mieux la personne en détresse

 

 

Reconnaître les premiers signes

La dépression et le risque de suicide chez la personne autiste - Trouble du spectre de l'autisme (TSA) - Le site spectredelautisme.comUne tentative de suicide est rarement faite à la suite d'une décision soudaine et impulsive. La plupart du temps, les personnes qui se suicident ont envoyé des messages de détresse et de souffrance à leur entourage, et ont manifesté leur intention d’en finir. Il est donc crucial de reconnaître les indices et les comportements suicidaires et, en cas de doute, le mot d’ordre est d’agir et de valider sa perception.

Une condition du spectre de l'autisme (TSA) peut affecter les capacités de communication de la personne, ce qui peut compliquer la recherche d'indices précurseurs. Si la personne a tenté de se suicider avant, tenez-en compte et encouragez-la à demander une aide professionnelle. En cas de doute, il vaut mieux se fier à son intuition et agir.

Chez certaines d'entre elles, les abus de médications, des réactions extrêmes répétées à un stress relativement léger, des effondrements émotionnels répétés peuvent être autant de signaux d’alerte. Dans certains cas, l'effondrement autistique ou meltdown peut être un élément déclencheur à la tentative de suicide.

 

Quelques exemples de signes précurseurs du suicide

Attention aux signes trompeurs : Il faut faire attention si l’humeur de la personne s’améliore soudainement. Ce changement peut être trompeur : il peut vouloir dire que la personne a planifié son suicide. La personne ne va pas mieux, mais selon sa façon de voir les choses, elle croit qu’elle arrêtera bientôt de souffrir ou de faire souffrir les autres. 

Messages verbaux directs et indirects

La personne parle de son intention de se tuer clairement ou avec ambiguïté, de mort, d’écœurement et d’essoufflement :

  • « Je vais me tuer »
  • « Je veux mourir »
  • « Je veux me suicider »
  • « J’ai fait mon testament »
  • « Je suis écœuré de tout »
  • « Je ne m’en sortirai jamais »
  • « Bientôt, vous aurez la paix »
  • « La vie n’en vaut pas la peine »
  • « Vous seriez bien mieux sans moi »
  • « J’ai envie de partir pour un long voyage »
  • « J’aimerais tellement rejoindre telle personne (qui est décédée) »

Indices comportementaux

  • La personne s'isole ;
  • Elle néglige son hygiène personnelle ;
  • Elle change de façon radicale ou progressive ;
  • Elle tient un discours autodévalorisant ou défaitiste ;
  • Elle a des comportements dangereux ou autodestructeurs ;
  • Elle met en ordre de ses affaires : lettres, règlement de conflits et testament ;
  • Elle présente un changement dans ses habitudes alimentaires et de sommeil ;
  • Elle a commencé à faire des cadeaux ou à donner les choses auxquelles elle tient ;
  • Elle s'intéresse soudainement aux armes à feu, au suicide, aux choses morbides, à la réincarnation ou aux cimetières.

Indices émotionnels

  • Désintérêt, perte de désir ;
  • Pleurs, tristesse, apathie et découragement ;
  • Ennuie, comme si la personne n'avait pas de plaisir ;
  • Brusques changements d’humeur ;
  • Agressivité ;
  • Émotions contradictoires et changeantes : rires suivis de pleurs ou de colère ;
  • Irritabilité, c’est-à-dire se mettre en colère facilement ;
  • Anxiété accrue ;
  • Absence d’émotions.

Indices cognitifs

  • Difficulté de concentration ;
  • Incohérence et confusion dans le langage ;
  • Absence ou manque de motivation ;
  • Pertes de mémoire ;
  • Indécision.

Symptômes de dépression

Il y a dépression si, depuis plus de deux semaines, il y a présence d’au moins cinq des symptômes suivants et qu’ils représentent un changement important par rapport au fonctionnement habituel :

  • Humeur dépressive ;
  • Diminution de l’intérêt et du plaisir ;
  • Perte ou gain de poids ;
  • Insomnie ou hypersomnie ;
  • Fatigue, perte d’énergie ;
  • Agitation ou lenteur ;
  • Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité ;
  • Difficulté à se concentrer ou à prendre des décisions ;
  • Pensées sur la mort ou le fait de mourir.

Comment vous pouvez aider

La dépression et le risque de suicide chez la personne autiste - Trouble du spectre de l'autisme (TSA) - Le site spectredelautisme.comIl est tout à fait normal de se sentir dépassé, impuissant, démuni et même bouleversé face à une personne qui pense au suicide. Toutes sortes d'émotions et de réactions peuvent naître de ce fait notamment la peine, la colère, le doute, la peur, etc. Si vous consultez cette section parce que vous croyez qu'un de vos proches pense au suicide, sachez que toutes ces réactions sont normales.

Il est fréquent que les proches se demandent s'ils doivent intervenir ou non. Voici quelques informations afin de vous aider. Et gardez en tête qu'une personne qui envisage le suicide a généralement besoin de savoir que d'autres sont à son écoute et présent pour elle.

 

 

Quoi faire

Pour la personne en détresse

  • Restez vous-même.

  • Offrez une présence réconfortante à la personne, surtout si celle-ci n'est pas en mesure de parler.

  • Établissez un climat de confiance et choisissez le bon moment pour aborder la question.

  • Posez-lui la question directement : « Est-ce que tu penses au suicide? ».

  • Écoutez là ! Prêtez attention à ce qu'elle dit sur elle-même et sur sa vie.

  • Essayez de comprendre ce qu'elle vit et de lui faire verbaliser ce qui ne va pas.

  • Parlez avec elle de ses idées suicidaires. Demandez-lui « Comment ? », « Où ? » et « Quand ? » elle pense se tuer (si le moyen qu'elle a choisi est facilement accessible en tout temps, le risque qu'elle passe à l'acte est d'autant plus élevé).

  • Rendez les lieux le plus sécuritaires possible. Remisez sous clés les armes à feu, les médicaments ou tout autre élément susceptible d'être utilisé.

  • Contactez d'autres personnes qui peuvent être en mesure de lui fournir un soutien

  • Remettez-lui les coordonnées de la ligne d’intervention suicide, accessible 24 heures par jour :
    1-866-APPELLE (1-866-277-3553) au Québec, le 01 45 39 40 00 en France et le 0800 32 123 en Belgique.


  • Encouragez la personne à aller chercher de l'aide auprès d'un organisme ou d'un établissement de son milieu (centre de prévention suicide, CSSS, médecin, etc.).

 

Pour vous même

  • Soyez disponible, mais sachez aussi mettre vos limites et prendre soin de vous.

  • Impliquez les ressources personnelles et professionnelles de la personne.

  • Ne restez pas seul dans vos actions, parlez-en avec d'autres afin de bâtir un réseau de prévention.

  • Parlez de ce que vous vivez, de vos émotions

  • Contactez une ressource d'aide spécialisée en intervention de crise suicidaire.

  • Contactez la Sûreté du Québec en situation de danger imminent.

Quoi éviter

  • Évitez d'être moralisateur ou de « donner votre recette de bonheur » à la personne suicidaire.
    Chacun a sa façon de vivre et sa conception du bonheur selon son vécu, sa personnalité.

  • Évitez de juger les causes de la crise ou l'intensité de la réaction de la personne.

  • Évitez de minimiser la souffrance de la personne.

  • Évitez de minimiser la gravité de ses problèmes.

  • Évitez de faire des promesses que vous ne pourrez pas tenir.

  • Ne JAMAIS mettre une personne suicidaire au défi de le faire.

  • Ne JAMAIS promettre le secret (personne n'est tenu à la confidentialité lorsque la vie d'une personne est menacée).

  • Ne craignez pas d'aborder le sujet du suicide directement, vous ne lui donnerez pas l'idée.

Lorsque le risque de suicide est trop élevé

Sachez que lorsqu'il est question de vie ou de mort, plus aucun secret ne tient. Selon la loi, nous avons l’obligation d'intervenir et ce, même si la personne refuse votre aide.

Dans le cas d’un adulte : Contactez immédiatement les secours d’urgence afin de déterminer avec un intervenant compétent les mesures à prendre dans l’immédiat.

Dans les cas de moins de 18 ans : AVISEZ les parents : Si l’intention persiste ou demeure inquiétante, il est obligatoire d’aviser les parents, de leur indiquer que leur enfant a des idées suicidaires et qu’il a besoin d’une intervention immédiate. La réceptivité des parents devant les difficultés de leur enfant est déterminante.

Si les parents ne veulent pas ou ne semblent pas pouvoir apporter le support nécessaire à leur enfant et que la crise suicidaire risque de compromettre le développement ou la sécurité du jeune. Vous devez contacter immédiatement les services sociaux de votre région ou la Sureté du Québec.

Si vous pensez au suicide

Si vous avez des idées suicidaires, c'est que votre souffrance commence à prendre trop de place. C'est un signal d'alarme. Vous devez le prendre au sérieux.

Le suicide vous apparaît actuellement comme la seule façon de diminuer votre souffrance...

Parlez-en, c'est le premier pas pour s'en sortir.

Il existe des personnes prêtes à vous écouter et vous aider. En parlant avec eux, il est possible de trouver des solutions, de percevoir différemment votre situation.

Appelez le 1-866-APPELLE (1-866-277-3553) au Québec, le 01 45 39 40 00 en France et le 0800 32 123 en Belgique. Des gens sont là pour vous aider et vous soutenir. Ne restez pas seul. Vous n'êtes pas seul à combattre. Il y a toujours de l'espoir.

 

Témoignage d'une survivante

« Pendant un an, j'ai déconnecté, j'ai cessé de vivre. Je n'étais plus là, je pensais de plus en plus à la mort, jusqu'au moment où j'ai consulté et obtenu de l'aide. À partir de cet instant, j'ai commencé à émerger de ce mauvais rêve qui envahissait toute ma vie. L'expérience a été physiquement épuisante et il m'a fallu plusieurs semaines de convalescence pour récupérer physiquement, même une fois les symptômes psychologiques disparus. Aujourd'hui, je reprends contact avec moi-même, mon conjoint, mes enfants et mon travail. »

– Karine, 33 ans

Rappelez-vous...

  • Les situations difficiles sont temporaires et peuvent toujours être résolues alors que le suicide est un acte permanent et irréversible.

  • Réglez vos problèmes un à la fois, étape par étape. Donnez-vous le temps de le faire. En les abordant un à la fois, vous pourrez avancer et regagner graduellement espoir et ce, beaucoup plus rapidement que si vous essayez de tout régler en même temps.

  • Écoutez ce que d'autres ont vécu.

Idées suicidaires et dépression

Des idées suicidaires peuvent apparaître et parfois persister lors d'une dépression. Il existe des sites de référence pouvant vous aider à reconnaître les signaux d'alarme et les symptômes, à identifier les facteurs de risque et à savoir à qui s'adresser pour obtenir de l'aide :

 

Si vous notez depuis plusieurs jours que vous avez de la difficulté à rencontrer vos obligations professionnelles ou familiales, il serait peut-être utile de voir votre médecin de famille ou un psychologue. N'attendez pas d'être devenu incapable de faire vos activités habituelles pour consulter.

Si vous en êtes à penser au suicide appelez au 1-866-APPELLE (1-866-277-3553) au Québec, le 01 45 39 40 00 en France et le 0800 32 123 en Belgique ou consultez un médecin DE TOUTE URGENCE.

Le suicide chez les enfants et les adolescents vivant avec un trouble du spectre de l'autisme (TSA)

La dépression et le risque de suicide chez la personne autiste - Trouble du spectre de l'autisme (TSA) - Le site spectredelautisme.comMême s'il est difficile de l'admettre, le suicide chez les enfants et les adolescents est présent et souvent sous-estimé, en particulier lorsqu'ils doivent composer avec les divers défis qui viennent de pair avec une condition du spectre de l'autisme (TSA).

Une condition du spectre de l'autisme (TSA) peut affecter les capacités de communication et de compréhension de la personne et ces derniers peuvent parfois être confrontés à des situations ou à des événements qui leur paraissent tellement difficiles à surmonter. Considérant leur rationnel d’enfant, leur peu d’expérience de vie et leur taux de stress relativement élevé ils peuvent rapidement se sentir dépassé et avoir l'impression de ne pouvoir s'en sortir.

Les idées suicidaires d’un enfant doivent toujours être prises au sérieux.  Il est important de ne pas minimiser les signes de souffrance exprimés par l’enfant et d’intervenir auprès de lui.

 

Les facteurs classiques de stress chez l'enfant et l'adolescent comprennent :

  • Être coupé des personnes ou être en conflit avec elles (parents, frères, sœurs, amis, collègues, employeurs) ;

  • École : problèmes avec les devoirs, les pairs, l’intimidation, la pression ou le rejet exercés par les pairs, les enseignants ;

  • Stress familiaux : séparation ou divorce des parents, troubles mentaux, difficulté à s'entendre avec les parents, les frères et sœurs ;

  • Troubles mentaux tels que la dépression, l'anxiété, les troubles de l'alimentation ou la toxicomanie ;

  • Se sentir obligé de garder des secrets pour soi. Les jeunes qui sont gays, lesbiennes, bisexuels ou transgenres peuvent se sentir contraints de cacher leur orientation sexuelle ou leur identité sexuelle, provoquant un stress immense chez eux. Ils agissent habituellement ainsi par crainte d'être rejetés dans le cas où ils seraient démasqués. Parmi les autres secrets, notons l’abus sexuel, que les enfants et les jeunes cachent souvent à leurs parents.

Les enfants et les adolescents peuvent êtres suicidaires lorsqu'ils se sentent :

  • Différent ;
  • Coupés des autres ;
  • Impuissants face à leur stress ;
  • Désespérés face à leur stress ou face à une situation qui selon eux ne pourra pas s'améliorer.

Quels sont les indices avertisseurs de suicide chez l'enfant et l'adolescent ?

Les indices verbaux

  • Dire son désespoir : « je suis tanné ».
  • Dire des mots aux parents et aux amis tels : « tu me détestes, un jour je vais me tuer ».
  • Dire qu’on aimerait mieux être mort : « un jour, je vais me tuer », « je vais me jeter devant une voiture »
    ou « je vais aller au ciel et être heureux. »
  • Dire qu’il aimerait que grand-papa (ou une autre personne décédée) vienne le chercher.

Les indices comportementaux

  • Être seul dans son coin ;
  • Ne plus voir ses amis ou changer souvent d’amis ;
  • Détruire agressivement des choses ;
  • Manger moins ou plus que d’habitude ;
  • Dormir plus ou avoir de la difficulté à s’endormir ;
  • Se préoccuper de plus en plus de la mort ;
  • Adopter des comportements « casse-cou ».

Les indices émotionnels

  • Pleurer souvent ou rire pour rien ;
  • Être triste ;
  • Se déprécier soi-même ;
  • Être souvent en colère ;
  • Des effondrements émotionnels ou meltdown répétés ;
  • Ne plus prendre de plaisir à rien.

Quoi faire si votre enfant ou adolescent a des idées suicidaires ?

Parler du suicide n'est jamais chose facile. Vous craignez peut-être d'éveiller des idées suicidaires dans l'esprit de votre enfant. Mais sachez que les études montrent que vous ne pouvez pas ancrer des idées suicidaires dans la tête de quelqu'un. Avec un peu de chance, votre enfant n'éprouvera pas ces sentiments, mais si c'est le cas, sachez également que le fait d'avoir abordé le sujet permettra à votre enfant de se confier à vous plus facilement.

  • Parlez-en. Allez-y doucement, mais commencez par demander à votre enfant ou adolescent comment il se sent.
    Allez-y doucement, en posant des questions générales…

  • Écoutez. Il est important de donner le temps à votre enfant ou adolescent de répondre à votre première question.

  • Exprimer vos inquiétudes

  • Faites des commentaires sur ce que vous remarquez

  • Abordez le thème du suicide

  • Posez d’autres questions au besoin

Mon enfant dit qu'il a des idées suicidaires et qu'il a l'intention de mettre fin à ses jours.

Si votre enfant vous dit qu'il ne peut pas arrêter de penser au suicide et qu'il est sur le point de se faire du mal, obtenez immédiatement l'aide d'un professionnel :

Ne laissez pas votre enfant seul. Assurez-vous qu'une personne reste auprès de votre enfant, que ce soit vous, un ami proche ou un membre de la famille.

En situation de crise, obtenez l'aide d'un professionnel. Appelez le 911 ou appelez au 1-866-APPELLE (1-866-277-3553) au Québec, le 01 45 39 40 00 en France et le 0800 32 123 en Belgique.

Faites-vous aider personnellement en situation de crise. Si vous avez obtenu l'aide d'un professionnel, pensez à appeler un membre de votre famille ou un ami pour vous soutenir pendant que vous cherchez de l'aide pour votre enfant.

Faites confiance à votre instinct. Même si votre enfant dit « non » lorsque vous lui demandez s'il a des idées suicidaires, suivez votre instinct. Si vous craignez que votre enfant ou adolescent soit en danger immédiat de suicide, obtenez de l'aide.

Pour obtenir plus d'information concernant l'aide dans votre communauté, consultez la section Ressources à la fin de cette section.

Traitement

Les idées suicidaires ne sont pas une maladie, mais bien un symptôme qui indique que quelque chose ne va plus. Les idées suicidaires sont souvent liées à des problèmes psychologiques, particulièrement la dépression et les problèmes de dépendance.

Il existe des traitements pour ces problèmes.

Traitement de la dépression

La dépression touche près des 3/4 des personnes qui se suicident. Il existe des traitements efficaces contre la dépression. Plus la personne atteinte consulte tôt, plus elle se rétablira rapidement. Consultez la page d'information sur la dépression du portail santé mieux-être du gouvernement du Québec pour en savoir plus.

Traitement des dépendances

Les comportements de dépendance à l'alcool, aux drogues et aux jeux de hasard et d'argent favorisent l'apparition des idées suicidaires. Des ressources spécialisées dans le domaine des dépendances offrent des traitements qui ont fait leurs preuves. Ces traitements aident les personnes à diminuer et à contrôler leurs comportements de dépendance. Consultez la page d'information sur les dépendances du portail santé mieux-être du gouvernement du Québec pour en savoir plus.

Ressources

1-866-APPELLE (1-866-277-3553) au Québec, le 01 45 39 40 00 en France et le 0800 32 123 en Belgique.

Tous les jours de l'année, à toute heure du jour ou de la nuit, vous pouvez appeler le 1-866-APPELLE (1-866-277-3553) au Québec, le 01 45 39 40 00 en France et le 0800 32 123 en Belgique. pour parler avec un intervenant. N'hésitez pas, les intervenants sont disponibles et qualifiés pour vous aider et répondre à vos questions. Ils sont disponibles en tout temps pour vous parler.

 

Centres de prévention du suicide

Vous pouvez obtenir de l'aide auprès de votre centre local de prévention du suicide. Pour en trouver les coordonnées, consultez la liste des centres de prévention du suicide sur le site de l'Association québécoise de prévention du suicide, Suicide Ecoute en France et le Centre de prévention du suicide de Belgique.

 

Autres ressources québécoises

D'autres ressources d'écoute et de soutien sont aussi disponibles :

Sources

Centre intégré de santé et de services sociaux de Chaudière-Appalaches <http://www.agencesss12.gouv.qc.ca>
Portail santé mieux être du gouvernement du Québec <http://sante.gouv.qc.ca>
Association québécoise de prévention du suicide <http://www.aqps.info>

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Recherche et rédaction :
 Aube Labbé
Dernière mise à jour : 31/01/2017 3:45 PM

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